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Le premier pas...

Notre monde occidental utilise principalement l’intellect, le mental, l’hémisphère gauche de notre cerveau. Tout y est logique, pensé, calculé, mesuré, rationalisé... Que ce soit à l’école ou à la maison, il est trop rare qu’on apprenne aux enfants à utiliser leur partie instinctive et à développer leur intelligence émotionnelle.


Le corps devient lui aussi purement fonctionnel, considéré par beaucoup comme un outil qui devrait être conforme aux critères dictés par notre société. Lorsque l’on est déconnecté de son corps, que l’on ne ressent même plus ses besoins, on est forcément déconnecté de ses émotions, donc de soi-même.


Comment entretenir de bons rapports avec soi et avec autrui dans ce cas ? Combien de gens tentent de vivre cet enseignement aime ton prochain comme toi-même sans s’aimer eux-mêmes ? Comment aimer l’autre, l’accepter pleinement dans ce qu’il est, si on ne s’est pas pleinement accepté soi-même ? Trop souvent juge, critique. Trop souvent peur d’être jugé, critiqué. Peur de découvrir la part obscure de son être ? Là où il y a la peur, il n’y a pas l’amour. Comment s’aimer alors ?

Le premier pas : apprendre à respecter son corps, à être à son écoute, à l’aimer et à en prendre soin. A s’accepter pleinement, tels que nous sommes. Avez-vous remarqué comme les personnes qui s’acceptent pleinement sont toujours belles, comme elles rayonnent ?


Pour s’accepter il faut aussi se connaître, comprendre ce qui nous a façonné, la façon dont nous fonctionnons, nos peurs primaires ; le tout en posant un regard bienveillant et sans jugement. Alors nous sommes prêts pour l’aventure, nous pouvons rentrer en nous-mêmes et apprendre à nous connaître, enfin.


Les huiles essentielles peuvent être des outils formidables, capables d'ouvrir à la connaissance de soi. Plus nous respirons une huile essentielle, plus nous ressentons, et nous pouvons ainsi établir une reconnexion au corps. Les odeurs nous reconnectent à nos souvenirs, ouvrent les portes de l’inconscient, débloquent des accès murés parce que parfois trop douloureux. La peur de la souffrance est souvent un frein mais les femmes qui donnent naissance le font rarement sans douleur.


Combien d’énergies bloquées, combien de vies en stagnation par peur de se connecter à ses émotions dites négatives ? La libération est toujours au bout du chemin car la vie est mouvement, et une fois le barrage levé, les énergies sont relancées et nous pouvons reprendre le cours de notre évolution…

Catherine Gilette

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