Acerca de
LEGISLATION
L'Aromathérapie : Un accompagnement complémentaire au service de votre bien-être
L'aromathérapie s'inscrit en complément d'un traitement médical, sans jamais se substituer à un diagnostic ou à un traitement prescrit par un professionnel de santé.
Elle vise à soutenir le bien-être global par la relaxation physique, la gestion du stress et le développement des ressources personnelles, mais ne peut se substituer à une consultation médicale, quelle que soit la nature des symptômes.
Il est important de rappeler que l’aromathérapie n'est pas une pratique médicale. Elle relève du domaine du bien-être et du développement personnel, comme défini dans la fiche métier ROME K1103.
Le praticien n’est pas habilité à poser des diagnostics médicaux, prescrire des traitements ou intervenir dans la gestion des maladies.
Utilisation des huiles essentielles et cadre légal
L'utilisation des huiles essentielles doit toujours se faire en accord avec un professionnel de santé et ne doivent en aucun cas conduire à l'arrêt ou à la modification d'un traitement médical sans avis médical.
Les bienfaits des huiles essentielles sont inscrits dans une démarche globale de bien-être. Ils ne peuvent être considérés comme une alternative aux soins médicaux ni prétendre traiter ou guérir des maladies.
Les informations et conseils prodigués par un praticien en aromathérapie qualifié sont à titre informatif et ne remplacent pas l’avis d’un professionnel de santé qualifié. Pour toute condition médicale, il est impératif de consulter votre médecin.
Une pratique reconnue au niveau européen
En accord avec la résolution européenne A4-0075/97, mise à jour le 24 mars 1999, l'aromathérapie s’inscrit dans une approche globale et humaine de la santé, qui prend en compte l’individu dans sa globalité plutôt que de se focaliser uniquement sur la pathologie.
Cette approche privilégie des méthodes douces pour renforcer les capacités naturelles du corps à se défendre.
Loin de s’opposer aux médecines conventionnelles, l'aromathérapie les complète pour offrir un bénéfice optimal.
Cependant, même si cette résolution reste en vigueur, la reconnaissance et l'encadrement de pratiques comme l'aromathérapie dépendent toujours des lois nationales de chaque pays.